dimanche 7 septembre 2008

Peut-on vivre sans amour dans un monde rempli de Bridget Jones ?

Nous l’avons vu dés le premier billet, shootée aux contes de fées dès sa plus tendre enfance, cette pute de Bridget Jones ferait une baby sitter dont je ne voudrais même pas pour un enfant dont le passe temps favori serait de mettre le feu au chat du voisin.
En effet, à moins d’être une pétasse de prince charmant blindé d’oseille, inutile de compter sur elle pour vivre une aventure sentimentale à la véracité aussi pure que le pucelage de Jeanne d’Arc (Du moins si on se fit à la rumeur qui entoure celui-ci, Jeanne était une femme soucieuse du quand dira-t-on ne l’oublions pas, il est possible que tout cette légende la concernant ne soit qu’un tissu de mensonges et qu’elle ait épongé la moitié de l’armée française tout en libérant Orléans… ).

Mais nous, les machos poilus du trou, ceux qui pissent debout contre le mur et pètent allongés dans le lit, oui nous, pauvres petites créatures sensibles aux cœurs si fragiles, pouvons-nous vivre sans amour ?
Mais tout d’abord qu’est-ce que l’amour ?
Personnellement je le défini de la manière suivante mais cela n’engage que moi et mon chien qui dépend de moi pour sa ration quotidienne de croquettes diététiques.
L’amour est un sentiment qui fait que deux personnes vont continuer à pratiquer le sexe ensemble et régulièrement alors que le week end sera terminé et que les effets combinés de la drogue et de l’alcool se seront dissipés et ce, alors même qu’au moins un des deux participants se révèle une crêpe question galipettes mixtes.
( exemples de déclarations anonymes abondants dans le sens de la démonstration : Brad est éjaculateur précoce, je n’ai jamais joui… Angelina J… Carla déteste sucer, c’est pour ça que je vais aux putes… Nicolas S…)

En résumé, l’amour améliore grandement la fréquence des rapports sexuels (surtout les six premiers mois de vie commune), mais pas forcement la qualité de ceux-ci,.
Quant on sait que nous les machos qui en avons dans le slip kangourou sommes principalement motivés par la manière de faire baisser le niveau de liquide séminal du sac à cacahuètes, on pourrait se dire que l’amour pourrait être un truc sympa. Certes il semble imposible de ne compter que sur ça, il nous faudrait quelques plans B,C,D,E,F pour bien s’éclater au plumard… mais ça pourrait être jouable…
(Peut-être peut-on voir dans cette analyse pourquoi tant de mecs se disent amoureux de gonzesses moches qu’ils cocufient joyeusement et régulièrement avec des gonzesses encore plus moches).

SEULEMENT ATTENTION, n’oublions pas qu’au mieux, au royaume des Bridget Jones, les pauvres se tapent des Maité. (La Maité est une femme que son physique a empêché de devenir une Bridget Jones accomplie mais pas forcement d’être acariâtre, surtout avec les anguilles, bref se taper une Maïté c’est prendre le risque des inconvénients sans les quelques avantages).
Donc la question est , vaut-il mieux se tripatouiller tout seul l’entrecuisse avec cinq doigts tout en regardant une rencontre de rugby féminin, ou bien posséder une femme pour s’ en occuper avec la bouche afin qu’elle ne parle pas pendant un match de foot ?

C’est un choix Herculeen !
(Un choix Herculeen (De Hercule, un héros travailleur) consiste en la mise en opposition d’au moins deux options de directions contraires.
Par exemple, notre cher et tendre Hercule, le matin du jour ou il est parti en chantant pour gratter les coucougnettes du lion de Némée, avait le choix entre risquer de se faire bouffer les entrailles par le dit fauve ou rester au lit à tripatouiller gentiment une ou deux servantes pas trop farouches, comme quoi, les pratiques sexuelles divergent suivant les personnes…).

Si on excepte le côté vide burettes d’une relation sentimentale, il serait toujours mieux de vivre sans amour, puisque la Bridget Jones est une pute, et que quand on a du gout et des amis moqueurs on ne va surtout pas au restaurant avec une Maïté surtout si c’est nous qui payons (Sauf bien sur si c’est pour la mettre aux fourneaux, mais dans ce cas précis, on passe par l’entrée de service au cas ou on connaisse du monde à l’intérieur).

Mais nous, les mecs infidèles, menteurs et hypocrites, pouvons nous vivre sans amour ?
Elles vous diront que nous n’en avons rien à foutre de leur amour puisque nous passons notre temps à aller voir ailleurs (que je tempèrerais par un quand on peut).
Certes, nous trompons les femmes, mais avec qui ? Avec d’autre Bridget et Maité, qui faisant fi de la légendaire solidarité féminine n’hésitent pas à tomber le string afin de nous aider à les déguiser en caribou. (Le caribou est un animal réputé principalement pour ses cornes).
De plus personnellement, je ne vois pas pourquoi elles s’obstinent à vouloir nous juger sur nos infidélités. Elles devraient quand même être heureuse, parce que si on revient, c’est bien qu’elles ont un truc de plus que la voisine avec laquelle on a couché pendant qu’elles amenaient le petit à crèche, non ?

Notre typiquement masculine propension à l’infidélité prouve-t-elle que nous pouvons vivre sans amour ?
Pas obligatoirement, ça peut juste signifier que notre femme suce mal, contrairement à sa meilleure amie.

L’amour est-il utile ?
Bien sur, souvent l’amour conduit au mariage, ce qui est pratique pour les déclarations fiscales, et aussi au divorce, ce qui fait vivre les avocats les moins doués et donc réduit le taux de chômage. Parfois l’amour peut conduire au meurtre ou au suicide, ce qui diminue le budget retraite de l’état, et dans les cas extrême à la guerre (Ce n’est pas Hélène de Troie qui va me démentir) avec son cortège de meurtres, viols et pillages, ce qui favorise le transfert des richesses tout en luttant efficacement contre la surpopulation de la planète et fait que ma petite entreprise de pompes funèbres ne connaît pas la crise.

Au cas ou on doive vivre (de gré ou de force) sans amour existe t il des palliatifs ?
Oui, mais il faut adapter chaque palliatif à ses besoins et contraintes quotidiennes.
Par exemple, l’amour de la bouteille n’est pas recommandé lorsqu’on est conducteur de train et l’amour des chiens à quatre pattes ne s’accompagne pas, (enfin dans la majorité des cas) de relations sexuelles, (alors que parfois, l’amour des chiennes à deux pattes si, le samedi soir le plus souvent). Quant à l’amour des timbres, c’est surtout un palliatif pour les cunnilingueurs compulsifs.

Ai-je répondu à la question titre ?
Non et je n’y répondrai pas. Je n’ai plus le temps je dois aller boire quelques vodkas avec mes collègues du club de philatélie et je n’ai pas encore fait pisser le chien !!!

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