mardi 30 septembre 2008

Faut-il octroyer généreusement et régulièrement un cunnilingus à sa compagne favorite ?

Si l’endroit est bien nettoyé, le buisson bien taille et que vous n'avez pas l’impression de visiter une champignonnière lorsque vous jetez un œil curieux entre ses cuisses, je répondrai oui, car si vous ne le faites pas, vous aurez toujours un ami fidèle pour s’en occuper.

Méditez bien ça les cocus !

jeudi 11 septembre 2008

La ou l’homme prouve qu’il est moins susceptible que la femme !!!

Les femmes ont pris pour habitude râler parce qu’il se raconte que quand homme se tape plein de filles on dit de lui qu’il est un tombeur alors qu’une femme qui se tape plein de mecs est décrite comme une salope.

Alors que franchement, nous les machos aux testicules pleines n’avons jamais rien dit sur ce qui suit :

Un homme qui reste chez lui sans travailler est un feignant qui profite du système.
Changez son sexe, il devient une femme au foyer…


(Gnarf gnarf !!!)

mercredi 10 septembre 2008

Faut-il faire piquer une chienne de garde lorsqu’elle a mordu pour la première fois ?

Une question sur laquelle mon vétérinaire agréé est resté très circonspect.

Emanation direct du MLFAAD (Mouvement de libération de la femme et autres animaux domestiques), les chiennes de garde sont un groupuscule terroriste constitué de femelles humaines. Malgré quelques similitudes avec les lesbiennes frustrées, c’est un peu comme les labradors et les golden, il ne faut pas confondre. (A l'attention des moins doués d'entre nous je précise qu'elles aussi on les différencie principalement à la longueur des poils).

Les revendications des chiennes de gardes portent essentiellement sur une égalisation des rapports hommes femmes au sein de la société moderne.

Ah ah ah ah. Nous les macho au QI de poissons clown, on en rigole encore. On a beau se gratter les couilles pendant que Zizou occupe son temps de travail en mettant des coups de tête à un Italien, on sait bien qu’on n’est pas près de devenir l’égal des femmes.

Oui oui, je sais ce que vous vous dites…

Les femmes aux foyer qui luttent pour leur indépendance, les salaires inférieurs, le machisme….

Un leurre.

La femme n’a jamais voulu être libéré du joug de l’homme.

Reprenons depuis le début.
Il y a trente ans, la femme ne bossait pas sinon pour amener les gosses à l’école et quelques menus travaux ménagers, ce qui lui laissait la journée pour se taper le livreur de journaux, le laitier, le facteur, le voisin, et peut être un ou deux démarcheurs à domicile. (C’est d’ailleurs de cette activité sexuelle débordante qu’est née la tradition de ne satisfaire son mari qu’une fois par semaine, le samedi, jour ou la plupart des amants de la semaine sont en repos).
Bref, la femme dépensait l’argent du mari, faisait la cuisine et astiquait la vaisselle aussi bien que ses amants.
Les cocus ignorants étaient contents et les femmes étaient sexuellement épanouies.

Aujourd’hui la femme travaille et dépense son propre argent. Pire elle fait briller la vaisselle tout s’occupant des gosses et de la cuisine comme avant, vu que rien n’a changé.
Du coup, elle n’a plus une minute à elle pour se taper plus d’un collègue de travail par semaine, ce qui la rend sexuellement frustrée, donc irritable à la maison et pas qu’en période de règles douloureuses, et voilà expliquée en moins de trois seconde la hausse catastrophique du nombre annuel de divorce sur les trente dernières années.

Vous auriez voulu changer cela si vous étiez à leur place ?
Pas convaincu ?
La femme fait l’amour, l’homme fait la guerre…
Vous connaissez l’adage…
A qui profite la guerre ?
A celles qui s’envoient en l’air pendant que le mari est loin, non ?
Dites plutôt « Pendant que l’homme fait la guerre, sa femme fait l’amour » (bien qu’on ne sache pas toujours avec qui …).
Et le butin des guerres ? Qui le dépense en robe, bijoux et autres pacotilles ?
Qui se prend une pension de veuve quand le mari se fait exploser le crâne par un sniper un peu joueur ?
Et sans parler de la guerre... Qui vit plus longtemps que l’homme en moyenne vu qu’elle ne s’use pas le cœur dans les mines de charbon, ne se brûle pas les poumons dans les usines de produits chimiques et ne se fait pas arracher un bras par une machine un peu trop joueuse ?

Vous croyez vraiment que la femme voulait changer l’ordre des choses ?

Ne me faites pas rire !

Je vous jure, elles étaient peinards les femmes avant qu’arrivent les mouvements de libération.
On payait les restaurants, les vacances à la Grande Motte, le coiffeur et l’esthéticienne. Elles avaient le temps de cuisiner de bon petit plats (A l’époque Findus n’était qu’une petite entreprise familiale). On leur offrait les fourrures, les bijoux, le maquillage et les parfums. On leur achetait des fleurs avant de rentrer et elles nous attendaient, le maquillage refait, les draps changés. Le monde fonctionnait parfaitement ainsi.

Franchement vous y croyez encore à la libération de la femme ?

Si la femme voulait vraiment être libéré, elles auraient TOUTES leur carte de chienne de garde. Regardez donc comment nos conjointes recrutent quand elles font la tête. Elle commencent par vous reprocher de rien faire à la maison et hop, le lendemain, la mère, la grand-mère, la soeur, les meilleurs copines et mème vos propres amiEs vous font la gueule. Alors franchement, s'il y avait un problème de relationnel dans la société moderne entre les hommes et les touffes à poils longs ou ras, croyez moi, on les aurait TOUTES sur le dos depuis un moment déjà.

Et si jamais vous doutez encore, dites moi les velus du torse, est-ce qu’un seul d’entre vous a déjà rencontré une femme qui vienne le brancher au comptoir d’une boite de nuit, lui offre un verre avant de prendre son numéro de téléphone pour l’appeler le lendemain, l’inviter au restaurant, payer l’addition et la rose du vendeur à la sauvette, l’embrasser par surprise sous un lampadaire, le raccompagner chez lui en voiture, ne pas faire la tête quand on lui demande d’attendre un peu car on ne couche pas le premier soir pour finalement fondre en larmes toute une semaine car elle ne rappelle pas après nous avoir sauté ?
Pas moi en tout cas.
Vous non plus ?

Je l'affirme, la femme n'a jamais voulu être libéré.

Personnellement, après un longue réflexion et sur la foi d'une périlleuse enquète, je soupçonne une manipulation masculine audacieuse derrière la libération de la femme, dont les chiennes de gardes n’en seraient que la dernière émanation, un moyen comme un autre pour nous autres pauvres macho soumis, de tenter de faire marcher dans nos souliers de travailleurs acharnés les femmes sophistiqués et feignantes.
Oui les chiennes de gardes ne peuvent être que l’outil dans la main d’un ou plusieurs hommes plus intelligent que la majorité (ça doit bien exister) qui cherchent à remettre leur congénères à niveau et à lutter contre cette exploitation de l’homme par les femmes qui dure depuis des millénaires.

C’est donc arrivé à cette conclusion que j’ai décidé de soutenir fermement le combat des chiennes de garde. Accordons-le ce qu’elles demandent, sans restriction aucune.
- Plus de machisme sur le lieu de travail (ou ailleurs).
- Plus de mains aux fesses au bureau.
- Payons les autant que les hommes, plus mème si elles veulent
- Ne soyons plus jaloux quand elles réussissent mieux que nous.
- Cessons la promotion canapé
- Autorisons-leur la péridurale lors de la sodomie.
- Etc... Etc...

ACCORDONS AUX FEMMES TOUTES LES REVENDICATIONS DES FEMINISTES


Parce qu’ainsi, peut-être qu’un jour nous aussi nous aurons le droit de ne pas travailler, de rester à la maison pour se taper la factrice et la livreuse de journeaux ou de pizzas. Oui peut-être qu’un jour nous auront du temps libre pour faire les magasins de tuning l’après midi pour dépenser l’argent de notre femme, passer l’après midi au bar tout en jouant au tiercé et, soyons fous, rêvons du jour, ou nous irons chez l’esthéticien pour nous faire épiler la touffe juste afin de vraiment leur ressembler et ainsi combler le fossé qui nous sépare !!!

Pas d’hésitation, je prends ma licence d’aboyer chez les chiennes de garde et en signe d'allégeance à leur cause, je le braille haut et fort, sans honte aucune :

« LA FEMME AU BOULOT, L'HOMME AU BISTROT »

dimanche 7 septembre 2008

Peut-on vivre sans amour dans un monde rempli de Bridget Jones ?

Nous l’avons vu dés le premier billet, shootée aux contes de fées dès sa plus tendre enfance, cette pute de Bridget Jones ferait une baby sitter dont je ne voudrais même pas pour un enfant dont le passe temps favori serait de mettre le feu au chat du voisin.
En effet, à moins d’être une pétasse de prince charmant blindé d’oseille, inutile de compter sur elle pour vivre une aventure sentimentale à la véracité aussi pure que le pucelage de Jeanne d’Arc (Du moins si on se fit à la rumeur qui entoure celui-ci, Jeanne était une femme soucieuse du quand dira-t-on ne l’oublions pas, il est possible que tout cette légende la concernant ne soit qu’un tissu de mensonges et qu’elle ait épongé la moitié de l’armée française tout en libérant Orléans… ).

Mais nous, les machos poilus du trou, ceux qui pissent debout contre le mur et pètent allongés dans le lit, oui nous, pauvres petites créatures sensibles aux cœurs si fragiles, pouvons-nous vivre sans amour ?
Mais tout d’abord qu’est-ce que l’amour ?
Personnellement je le défini de la manière suivante mais cela n’engage que moi et mon chien qui dépend de moi pour sa ration quotidienne de croquettes diététiques.
L’amour est un sentiment qui fait que deux personnes vont continuer à pratiquer le sexe ensemble et régulièrement alors que le week end sera terminé et que les effets combinés de la drogue et de l’alcool se seront dissipés et ce, alors même qu’au moins un des deux participants se révèle une crêpe question galipettes mixtes.
( exemples de déclarations anonymes abondants dans le sens de la démonstration : Brad est éjaculateur précoce, je n’ai jamais joui… Angelina J… Carla déteste sucer, c’est pour ça que je vais aux putes… Nicolas S…)

En résumé, l’amour améliore grandement la fréquence des rapports sexuels (surtout les six premiers mois de vie commune), mais pas forcement la qualité de ceux-ci,.
Quant on sait que nous les machos qui en avons dans le slip kangourou sommes principalement motivés par la manière de faire baisser le niveau de liquide séminal du sac à cacahuètes, on pourrait se dire que l’amour pourrait être un truc sympa. Certes il semble imposible de ne compter que sur ça, il nous faudrait quelques plans B,C,D,E,F pour bien s’éclater au plumard… mais ça pourrait être jouable…
(Peut-être peut-on voir dans cette analyse pourquoi tant de mecs se disent amoureux de gonzesses moches qu’ils cocufient joyeusement et régulièrement avec des gonzesses encore plus moches).

SEULEMENT ATTENTION, n’oublions pas qu’au mieux, au royaume des Bridget Jones, les pauvres se tapent des Maité. (La Maité est une femme que son physique a empêché de devenir une Bridget Jones accomplie mais pas forcement d’être acariâtre, surtout avec les anguilles, bref se taper une Maïté c’est prendre le risque des inconvénients sans les quelques avantages).
Donc la question est , vaut-il mieux se tripatouiller tout seul l’entrecuisse avec cinq doigts tout en regardant une rencontre de rugby féminin, ou bien posséder une femme pour s’ en occuper avec la bouche afin qu’elle ne parle pas pendant un match de foot ?

C’est un choix Herculeen !
(Un choix Herculeen (De Hercule, un héros travailleur) consiste en la mise en opposition d’au moins deux options de directions contraires.
Par exemple, notre cher et tendre Hercule, le matin du jour ou il est parti en chantant pour gratter les coucougnettes du lion de Némée, avait le choix entre risquer de se faire bouffer les entrailles par le dit fauve ou rester au lit à tripatouiller gentiment une ou deux servantes pas trop farouches, comme quoi, les pratiques sexuelles divergent suivant les personnes…).

Si on excepte le côté vide burettes d’une relation sentimentale, il serait toujours mieux de vivre sans amour, puisque la Bridget Jones est une pute, et que quand on a du gout et des amis moqueurs on ne va surtout pas au restaurant avec une Maïté surtout si c’est nous qui payons (Sauf bien sur si c’est pour la mettre aux fourneaux, mais dans ce cas précis, on passe par l’entrée de service au cas ou on connaisse du monde à l’intérieur).

Mais nous, les mecs infidèles, menteurs et hypocrites, pouvons nous vivre sans amour ?
Elles vous diront que nous n’en avons rien à foutre de leur amour puisque nous passons notre temps à aller voir ailleurs (que je tempèrerais par un quand on peut).
Certes, nous trompons les femmes, mais avec qui ? Avec d’autre Bridget et Maité, qui faisant fi de la légendaire solidarité féminine n’hésitent pas à tomber le string afin de nous aider à les déguiser en caribou. (Le caribou est un animal réputé principalement pour ses cornes).
De plus personnellement, je ne vois pas pourquoi elles s’obstinent à vouloir nous juger sur nos infidélités. Elles devraient quand même être heureuse, parce que si on revient, c’est bien qu’elles ont un truc de plus que la voisine avec laquelle on a couché pendant qu’elles amenaient le petit à crèche, non ?

Notre typiquement masculine propension à l’infidélité prouve-t-elle que nous pouvons vivre sans amour ?
Pas obligatoirement, ça peut juste signifier que notre femme suce mal, contrairement à sa meilleure amie.

L’amour est-il utile ?
Bien sur, souvent l’amour conduit au mariage, ce qui est pratique pour les déclarations fiscales, et aussi au divorce, ce qui fait vivre les avocats les moins doués et donc réduit le taux de chômage. Parfois l’amour peut conduire au meurtre ou au suicide, ce qui diminue le budget retraite de l’état, et dans les cas extrême à la guerre (Ce n’est pas Hélène de Troie qui va me démentir) avec son cortège de meurtres, viols et pillages, ce qui favorise le transfert des richesses tout en luttant efficacement contre la surpopulation de la planète et fait que ma petite entreprise de pompes funèbres ne connaît pas la crise.

Au cas ou on doive vivre (de gré ou de force) sans amour existe t il des palliatifs ?
Oui, mais il faut adapter chaque palliatif à ses besoins et contraintes quotidiennes.
Par exemple, l’amour de la bouteille n’est pas recommandé lorsqu’on est conducteur de train et l’amour des chiens à quatre pattes ne s’accompagne pas, (enfin dans la majorité des cas) de relations sexuelles, (alors que parfois, l’amour des chiennes à deux pattes si, le samedi soir le plus souvent). Quant à l’amour des timbres, c’est surtout un palliatif pour les cunnilingueurs compulsifs.

Ai-je répondu à la question titre ?
Non et je n’y répondrai pas. Je n’ai plus le temps je dois aller boire quelques vodkas avec mes collègues du club de philatélie et je n’ai pas encore fait pisser le chien !!!

mercredi 3 septembre 2008

Un petite pensée buccolique dont je ne doute pas qu'elle fera un plaisir fou à mes amies les Chiennes De Garde !!!

La femme et l'homme sont comme l'homme et Dieu.

Le premier voudrait bien ressembler au second mais n'atteindra jamais sa perfection...
 
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