jeudi 28 août 2008

Comment le petit poucet à pris la tête du Cartel du Royaume Enchanté !

Le petit Poucet est né et a grandit (si on peut dire) dans la favellas Sud du royaume enchanté. Sa mère dealait des substances illicites diverses, son père était prostitué pour retraités masculins dépressifs.
(Quand on voit la gueule de sa mère championne de body-building et la musculature de son père (quarante sept kilos pour un mètre soixante quinze) on comprend pourquoi ce n'était pas le contraire).

A l'âge de huit ans, il est abusé sexuellement par le jardinier de la belle au bois dormant (l'affaire fit grand bruit en son temps), ce qui l'encouragera à marcher sur les traces de sa mère, plutôt que celle de son père.
Il devint donc un dealer de drogue qui se fit sa réputation lors de la prise de contrôle de la favellas Est par sa famille.

L’histoire (selon Vincipedia) :

Lors d'une expédition punitive destiné à éliminer Ogre, le chef de la favellas est, Petit Poucet et ses frères s'engagent dans un dédale de bidonville pour prendre l'ennemi à revers. Sur un coup de génie, Petit Poucet, sème des cailloux de crack pour baliser le chemin retour. L'expédition échoue, mais tout le monde rentre sain et sauf.

Quelques mois plus tard, la famille décide de retenter sa chance. Cette fois, Petit Poucet, sans doute sous l'influence d'un ecstasy un poil trop euphorisant, sème des feuilles de Cannabis séchées. Le vent étant taquin ce soir là, personne ne put retrouver son chemin.

Poucet et ses frères de gang furent fait prisonnier. Incarcérés dans la maison forteresse d’ogre, les compères s’évadent dans la nuit, éliminant aux passages, les sept gardes du corps d’ogre, (ses filles comme ils les appelaient affectueusement avant de leur faire l’amour, car Ogre, suite à un long séjour en prison n’avait pu se débarrasser de l’habitude de coucher avec des garçons). Le gang dérobe un bateau au port et quitte la favellas Est par la mer.

Fou de rage, Ogre se lance une poursuite effrénée avec son hors-bord, « le sept lieux ». Poucet et ses frères sont rattrapés sur l’ile du rocher. Pour couvrir, la fuite des siens, Poucet affronte Ogre en combat singulier . Plus rapide, il gagne le combat grâce à son sens de l’esquive et des coups bas, n’hésitant pas à mordre l’entrejambe de son adversaire lors d’un corps à corps d’anthologie. C’est donc avec un testicule dans la bouche qu’il devient à la loyale chef incontesté et incontestable (incontesticulable?) de la Favella Est.

Laissant derrière lui Ogre qui agonise la main sur ce qui reste de son entrejambe, il fait un retour triomphal dans la favella Est, et Ogresse (la comptable de l’organisation) se soumet, donnant la liste des comptes et des opérations en cours. Dans sa très grande magnanimité, le petit poucet, lui laissera la vie sauve. Il se contentera de la livrer aux anciens hommes de mains d’ogre lui ayant juré allégeance selon la théorie du « suivons le vent qui tourne pour rester en vie ».
Tous ou presque abuseront d’elle à volonté toute une semaine avant de la mettre sur le trottoir. Elle mourra un peu plus tard d’une syphilis des poumons foudroyante (Elle avait avalé de travers la semence d’un client plombé, voilà ce que c’est de sucer sans préservatif), et son corps sera jeté à la mer pour nourrir les crabes.
(On aurait préféré que ça arrive à Bridget Jones je suis d’accord)

Suite à cette opération, la famille poucet devient la plus puissante organisation maffieuse du royaume enchantée. Un statut qui lui permettra de fréquenter les grands de ce monde et de se créer une notoriété certaine au sein de la haute société du royaume enchanté, toujours prête à s’encanailler du moment qu’on ne lui vole pas ses bijoux.

Le petit poucet est aussi connu pour être l’instaurateur de la trêve des gangsters. Il négociera dans un premier temps avec Ogre*, frère du premier et chef de la Favella Ouest**, allant même jusqu’à lui offrir le sept lieue pour se faire pardonner la mort de son ainé, mais il est aujourd’hui prouvé qu’il soutint secrètement le chat botté qui le renversera quelques années plus tard et, ironie du coquin de sort, lui dérobera lui aussi le sept lieues.
(*NB : chez les ogres tous les males portent le même prénom (ogre)ce qui simplifie l’écriture des comptes de fées mais pas la lecture des arbres généalogiques
** Ogre fit passer les intérêts de la favella Ouest avant ses revendications personnelles, de toute façon il ne s’était jamais entendu avec son frère décédé qui ne payait jamais à temps ses livraisons de cocaïne, à tel point qu'une fois, il déclara : si je vendais ma drogue chez Auchan, au moins je serais payé à 120 jours)

Grâce à Petit poucet, il s’ensuivit donc une longue et fructueuse période pour les gangsters du royaume enchanté. De mémoire de truands, à cette époque, la vie était un vrai conte de Fées.
Petit poucet mourra à l’âge de quatre vingt deux ans, dans son lit, entouré par quatre prostitués. Les médecins concluront à un arrêt cardiaque du à l’absorption d’une quantité astronomique de Viagra.

PS : il est a noté que sur les conseils de ses amis les Charmants, le petit poucet engagera un coach en image, Mr Charles Perrault, personnage trouble, dont nous avons déjà parlé sur ce blog, (Voir plus bas "Quel enculé ce prince charmant !") qui tronquera la réalité et usera de l’influence de son commanditaire pour livrer une version ô combien romancée de la vie de son client, qui encore aujourd’hui, reste la plus connue du grand public, et bien sur la moins véridique contrairement à celle-ci issue, d'un dur labeur de recherche et de vérification des sources et témoignages utilisés.

mercredi 27 août 2008

Il y a encore des touffes qui s'humidifient pour Mickey Rourke !

A six heures du matin en after, il faut bien prendre en compte que les plus jolies sont généralement parties se faire attraper depuis longtemps ou alors ce sont des serveuses de la boite de nuit d’à côté qui vient de fermer, qui comme toutes les mauvaises employées n’aiment pas suffisamment leur travail (aucune conscience professionnelle) pour se taper un ou deux clients par semaine histoire de fidéliser la clientèle et qui viennent boire un verre pour se décontracter suite à l’invasion de leurs comptoir par ce qu’elles qualifient comme, je cite, une horde de gros lourd bourrés.
(A les écouter parler, les gros lourds sont encore plus lourds quand ils se déplacent en horde, personnellement, je ne me suis jamais senti plus lourd en groupe...).

Pourtant la fille que je branchais, bien qu’elle ait peu de chance d’être retenue pour la finale Miss France, restait vaginalement introductible et je dirais même que dans l’optique ou je sois un adepte des traditions à la con qui coutent du fric sans qu’on soit sur de pouvoir tirer un coup, j’aurais sans doute pu l’inviter dans un restaurant pas trop éloigné de mon domicile personnel sans craindre de tomber sur un de mes meilleurs amis équipé d’un appareil photographique, un cliché en couple ne faisant pas chuter le niveau de mon CV sentimentalo sexuel de manière catastrophique.

J’étais donc là, en train de cuver tranquillement ma vodka, quand cette fille que je branchais me dit :
- Tu ressembles à Mickey Rourke.

Je mis un certain temps à percuter sans savoir si c’était du à l’alcool ou à l’irréalité de ses propos.
Je connais très bien Mickey, nous avons fait quelques fêtes ensemble, et je l’apprécie beaucoup mais nous sommes quelque peu en froid depuis qu’une de ses maitresses a avoué à une amie commune que je faisais mieux l’amour que lui. Ne pouvant résister à la tentation de tout balancer (C'était une bridget Jones commère, ce sont les pires), cette soi disant amie a sauté sur son téléphone au premier changement de tampax de la maitresse dans les toilettes afin de tout répéter au plus vite à Mickey, lequel s'est bêtement froissé du commentaire, et ne répond plus quand je téléphone, pas plus qu'il ne me rappelle. Une réaction que je qualifierais d'enfantine, mais malheureusement encore trop courante chez les hommes à la suceptibilité sensible (oui Mickey est un sensible suceptible) qui se font enterrer par un ami dans la course au meilleur du plumard. (Ne croyez pas que je me tape la femme de mes amis, nous étions tous présents dans la mème pièce Mickey compris, en train de faire plus ou moins la mème chose quand la maitresse a effectué son comparatif).
Tout ça pour dire que même dans le noir, ce serait dur de nous confondre, je reste celui qui fait crier plus fort les Bridget Jones !!!

Tout en me demandant si je pourrais lui soutirer l’adresse de son dealer (Sa came avait l’air drôlement efficace) je pris son visage entre les mains pour le faire pivoter en direction du miroir qui se trouvait juste derrière nous.
- Heu… Tu trouves ?
- Oui, enfin pas exactement, au niveau du regard surtout.
- Du regard surtout ???
- Tu as un regard pénétrant. Tu regardes comme lui
- Ah…
-
Je pris un instant pour me demander si je devais intégrer ceci dans mon répertoire de techniques de drague.
Cela revenait à aller brancher une blonde aux yeux bleus ainsi :
- hey dis moi, tu sais que tu ressembles à Sharon Stone. Non pas physiquement, rêve pas non plus, mais tu as la même manière de ne pas porter de culotte.
(Après mûres réflexions, je décidai qu'il fallait affiner le truc avant d’expérimenter en situation réelle).

Du coup j’ai répondu en me conformant au célèbre adage qui déclare qu’il ne faut jamais contredire une touffe quand on a envie de pratiquer la chose avec elle.
- Tu as raison je suis Mickey Rourke.
Puis je l’ai prise par le bras pour l’amener en direction du comptoir, ou j’ai commandé en souriant.
- « Une double vodka pour la demoiselle s’il vous plait ».

Fallait surtout pas la laisser redescendre. Vu l’état ou elle était, j’avais de grandes chances de pouvoir abuser d’elle !

mardi 26 août 2008

Quel enculé ce prince charmant !

Non seulement le prince Charmant a l'air d'un bellâtre prétentieux à peine moins effémine que Vincent Mc Doum, mais en plus croyez moi sur parole (je ne mens jamais), c'est un bel enculé.

Quoi ? Comment ?

Moi jaloux ?
Du prince Charmant ?

AH AH AH

Je ris haut et fort.
(Plusieurs fois, mais j'ai la flemme de réécrire AH AH AH).

Parce qu'il est jeune, intelligent, courageux, vêtu d'un destrier Blanc, et qu'il ne fume que de la cocaïne pure et que moi, je suis vieux, que je ressemble à Sim en plus moche, roule en 306 même pas HDI, et que je possède le QI d'un gastéropode, et que mon compte en banque est aussi découvert que Clara Morgane en plein travail ???

Pitié, pas de ça entre nous. La jalousie envieuse c'est pas mon truc, (vous croyez pas que ça se saurait si je pensais comme une femme ?).
De toute façon j'ai foi en la Justice Divine, je suis sur que le Prince Charmant à une bite de trois centimètres en érection.
(On peut pas tout avoir, non ?)

Bon, maintenant, qu'on a éclaircit ce point là, est-ce que je peux reprendre. Oui ? Merci.

Donc, comme je le disais avant de me perdre dans vos considérations mesquines et futile, sous ses airs de jeune fille de bonne famille, le prince charmant n'est pas aussi femme mouillée qu'on veut bien le dire. (J'ai décidé de devenir politiquement correct, c'est pour ça que je n'ai pas écrit poule mouillée).

Reprenons depuis le début.

A cette époque, son agent ne l'ayant pas encore surnommé La belle au bois dormant, on l'appelait encore princesse vierge et prude. (C'était du marketing, du coup on ne prenait pas en compte les nombreuses fellations et autres coquineries prodiguées au jardinier).
Du haut de son donjon, elle s'entrainait dans le dos de son père à filer du coton dans le but non avoué de tricoter un string échancré pour sa copine Blanche Neige qui prévoyait de se faire sauter par son Prince Charmant à elle sous les fenêtres de la (très frustrée sexuellement) marâtre de belle mère de ce dernier, ceci dans l'espoir secret de la rendre folle de rage afin de réussir à la faire interner puis castrer chimiquement dans une clinique spécialisée Suisse, afin de récupérer le château, les comptes aux Bahamas, les bijoux etc... etc... le tout s'en éveiller les soupçons du chef de la garde de la belle doche, un médecin-tortionnaire réputé aux quatres coins du royaume enchantée pour son aversion envers les anesthésiants et plus dévoué à la vilaine sorcière que ne l'est la fidèle Lassie à la queue de Ran tan plan.
(Quoi ? Ran Tan Plan est un chien je vous rappelle. Donc il possède une queue jusqu'à preuve du contraire et l'évocation de cette dernière ne devrait pas faire interdire ce blog aux moins de dix huit ans).
Histoire de s'occuper l'esprit, la belle au bois dormant (je garde son nom de scène pour mieux la situer dans l'histoire), laissait ses pensées s'égarer vers la braguette du jardinier que d'ailleurs, elle venait de pomper ardemment une heure plus tôt entre deux bosquets avant de le laisser la sodomiser avec entrain.
(Pour les personnes qui remettrait en cause mon engagement politico-correct décrit plus haut, je tiens à rappeler que quand on veut rester vierge et prude, masturbation, cunnilingus, fellation et sodomie sont les solutions courantes les plus utilisées pour tenir sa promesse, bien plus que l'abstinence quoi que veuille bien faire croire la rumeur insistante).

Bref, tout en filant du coton, la belle au bois dormant se laisse envahir par des pensées salaces en rapport avec l'entrejambe bien fournie du jardiner et mouille fort son tanga tricoté maison. C'est dans ce contexte qu'elle se pique le doigt par manque d'inattention. (On peut comprendre bien que les femmes sont censés savoir faire deux choses à la fois, soyons magnanimes).
Pas de bol, elle est hémophile.

En adéquation avec la théorie du réflexe de survie développée en 1947 par Manfred Shieze, un scientifique nazi racheté une fortune aux russes par les américains, le cerveau plonge la Belle au Bois Dormant dans un coma réparateur, le temps de réparer les tissus endommagés.
Ce qui prendra bien quelques heures.
Mais, vu que comme toutes les princesses la Belle au Bois Dormant est une feignasse qui ne pense qu'à se faire tirer par le jardinier pendant que planqué derrière un arbre le cocher mate d'un œil humide, elle décide inconsciemment de prolonger sa sieste, laquelle dure cent ans, car à l'époque il plutôt rare de voir un domestique réveiller ses employeurs sans avoir reçu un ordre précis en ce sens. (Pour expliquer ce flagrant manque d'initiative au sein de classes serviles à cet époque, les historiens avancent l'hypothèse d'une corrélation entre deux facteurs : la mauvaise humeur présente chez quatre vingt pour cent des personnes réveillées trop tôt et la pratique encore en vigueur de violents châtiments corporels à l'encontre des employés de maison causant le mécontentement de leurs maitres et maîtresses, tels le fouet, le viol, l'écartèlement etc...)

Donc la belle au bois dormant tape un roupillon.

Tic Tac Tic Tac,

(Vous avez vu comme je simule bien le temps qui passe. Tout est dans le bruitage comme je le dis souvent aux demoiselles qui veulent apprendre à simuler)

Tic Tac Tic Tac,

Le jardinier finit par être rageusement découpé en morceaux par les habitants du petit village et ce n'est que justice vu qu'il s'est fait chopé en train d'abuser sexuellement du petit Poucet dans la grange.
(Réveillez-vous ! La belle se pique à seize ans. Ca fait un moment que le jardinier se la tapait, vous n'aviez pas compris que c'était une putain d'ordure de pédophile ?)

Tic Tac Tic Tac,

Ses parents sont tués sur le coup dans un accident de carrosse, elle n'assiste pas à l'enterrement, scandale au sein de la haute société.

Tic Tac Tic Tac,
Le château est abandonné, pas même un squatteur pour venir pisser contre le pont-levis.

Tic Tac Tic Tac,

Le temps passe vite, le temps ne fait que passer...
(Normal y a rien à boire dans le château, et le frigo est vide).

Tic Tac Tic Tac

Puis un jour, le prince charmant rate sa sortie sur l'autoroute, et à cause de la panne du GPS de son cheval de chez Porshe (Ferrari c'est le prince charmant de Blanche neige, suivez un peu merde), il finit par arriver dans un château abandonné et poussiéreux au détour d'un chemin tortueux, sombre, étroit, bordé de ronces et d'orties.
(Tan tan tan. Vous avez vu avec quelle facilité, je fais monter la pression dramatique...)

Désireux de se prendre pour un gosse de la rue, le Prince Charmant décide d'aller taguer le donjon. Il gare donc 911 (le nom de son cheval) à l'intérieur d'une étable poussiéreuse de peur qu'il ne se mette à grêler et que ça abime la peinture de sa monture. (La franchise n'est pas donnée, même à la MAAF).
Il monte en haut du donjon dessine une tête à toto et signe d'un "Le PC n'est pas mort". (Le slogan sera reprit dans les années 2000 par Marie Georges Buffet qui détournera le sens premier de PC (Prince Charmant) sans lui verser un seul droit d'auteur, ce qui conduira à une très médiatique querelle d'avocat qui finira par s'enliser puisqu'à l'heure actuelle, Maitre Vergès et Maitre Collard n'ont toujours pas trouvé d'accord).

En redescendant, encore sous l'emprise de l'adrénaline due à son érectile envie de s'encanailler, le prince charmant s'appuie sur une porte en bois vermoulu pour reprendre le contrôle de son être. Élevé dans un environnement surprotégé, le Prince Charmant est incapable de savoir que le bois vermoulu peut se révéler dangereux. La porte cède et il s'écroule dans une chambre au moins aussi poussiéreuse que la foufoune à Maïté (Normal, elle non plus n'a pas du être visité depuis une centaine d'année).
Sa tête heurte le sol violemment. (Ca t'apprendra à tagger n'importe ou Prince Ducon).
Lorsqu'il se relève, il est encore sous le choc consécutif à sa chute.

A partir de ce point, les opinions divergent.
Le prince charmant a t il voulu se prouver qu'il était bisexuel, et donc pouvait faire l'amour à une femme ? A t il été simplement été pris d'un coup de folie, peut-être consécutif à sa chute ?
Certains spécialistes, ont avancé une théorie selon laquelle il aurait été pris dans un délire hallucinatoire due à une bactérie (la Lipossosus Estetica), connue pour se développer dans les environnements humide, or rappelons-le, le château de la belle au bois dormant manquait d'entretien depuis plusieurs décennies déjà.
En tout cas, d'après ce qu'on en sait, le prince charmant s'est jeté sur la Belle au Bois Dormant tel un pitbull affamé sur un nouveau né, la saisissant par les cheveux avant de lui déchirer sa nuisette tricotée de ses douces mains afin de la violer sauvagement durant trois jours et trois nuits pour finir par l'abandonner là sans remords et....

Quoi ?

Ah, oui l'histoire du baiser et du "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant...."

Vous ne connaissez donc que la version officielle ?
(Ah les manipulations médiatiques...!!!)

Laissez moi donc éclairer votre lanterne avant que vous ne la preniez pour une vessie.

En ce temps là, les familles riches et influentes du royaume enchanté fuyaient le scandale comme la peste (la maladie, pas la jeune fille un peu turbulente). Dans une situation embarrassante comme celle-ci, un arrangement fut trouvé afin de sauver les apparences.
(Pour la virginité de la belle au bois dormant, il restait plus grand chose à sauver).

Le prince charmant fut envoyé aux Indes pour y apprendre les bonne manière en chassant le tigre du Bengale, et la belle au bois dormant fut éloigné dans une clinique Suisse où elle fut placé en cure de sommeil (Ah l'ironie du médecin) le temps qu'elle accouche de deux jumeaux. On lui enleva ses enfants à la naissance avant de l'enfermer dans un couvent orthodoxe au fin fond d'un territoire qui deviendra plus tard la Biélorussie.
Quelques années après le début de son emprisonnement (car c'est bien ainsi qu'il faut nommer la chose, puisque personne ne lui avait demandé son avis, bien que cela puisse paraitre normal vu que c'était une femme), elle réussit à s'évader et à rejoindre Hollywood. Désireuse de s'essayer au cinema, elle prit un agent qui devint son amant et lui donna ce fameux nom de scène, mais les hommes de mains de sa famille la trouvèrent avant la gloire.
Ramenée de force sur son lieu d'incarcération, la surveillance fut renforcé et elle ne réussit plus jamais à s'évader malgré quelques tentatives plus ou moins ingénieuse. D'après le rapport officiel du médecin légiste, sa mort survint suite à une pneumonie de l'estomac quelques années après sa première ménopause (Première ????).

Les enfants de la belle furent placés dans un orphelinat New Yorkais haut de gamme. Le Prince Charmant ne daigna jamais leur envoyer ne serait-ce qu'un seule carte postale de son périple aux Indes, les familles se contentant de régle la note. L'absence de leurs parents les perturba à jamais, et ils n'apprirent la vérité sur leurs origines que recemment, à la suite d'une longue et périlleuse enquète (fort semblable à la mienne ceci dit). Encore aujourd'hui, leur gout pour la physique quantique et les mathématiques haut de gammes, reflète bien les séquelles de leur enfance orpheline.
Leur majorité acquise, les deux jumeaux coupèrent les ponts avec leur famille, prirent un pseudonyme et émigrèrent en France ou ils connurent leur heure de gloire dans les années quatre vingt sous le nom d'Igor et Grishka Bogdanoff, et quand on les écoutes parler des soucoupes volantes, on se rend bien compte qu'il ont été conçu au royaume enchanté... (Vu le prix de l'essence à la pompe, comment croire que les gentils hommes verts viennent faire le plein sur notre planète hein ?)

Quand à l'ex agent-amant de la miss au bois dormant, il fut retrouvé égorgé dans une chambre d'hôtel du Mexique quelques semaines après la capture de sa belle.
L'enquête officiel conclut à un suicide, ce qui donna lieu à une légère polémique, et c'est d'ailleurs ce léger scandale (vite étouffé), qui poussa plus tard les services secrets américains à utiliser des barbituriques lors de l'affaire Marylin Monroe. (Un scandale ayant eu lieu malgré tout, les dits services secrets cessèrent de finasser pour utiliser des moyens plus traditionnels avec les frères Kennedy. Parfois, rien ne vaut un bon retour aux sources).

Néanmoins, des bruits et des rumeur ayant filtrés, des histoires circulant, les familles engagèrent chacune un journaliste véreux (Messieurs Grimm et Perrault) afin de broder une histoire beaucoup plus chaleureuse que la réalité sordide de ce vulgaire fait divers. Le clou fut enfoncé lorsque Monsieur Disney, (Ami intime de la famille Charmant), s'inspirant des écrits des dits journaliste, décida de porter à l'écran une version ô combien édulcorée de l'histoire, afin de finir d'endormir les esprits mais ceci n'a rien de surprenant quand on connait le personnage.
En effet, Monsieur Disney, personnage ambiguë et peu fréquentable est réputé depuis bien longtemps pour porter à l'écran des œuvres insalubres destinés aux jeunes filles en bas age, afin de leur apprendre dès leurs premières années à n'aimer que les mecs blindés d'oseille qui roulent en destrier blanc, tout ça pour les transformer en pétasse matérialiste pas forcement belle, j'ai nommé les Bridget Jones.
Autant vous dire qu'en apprenant la vérité et ce qu'il devait en faire... Le Walt, à défaut de pouvoir se taper la belle au bois dormant, il a sauté sur l'occasion....

Bien sur, il est possible que mon argumentation précise et subtile ne vous convainc pas
Vous être libres d'adhérer à la version officielle, mais franchement qui est assez stupide pour croire qu'un mec d'une vingtaine d'année, va se taper des kilomètres à travers la brousse, pour aller embrasser une gonzesse de cent seize ans... Surtout que la vioque, en plus d'avoir six fois son âge, des rides et des cheveux blancs, elle dort depuis un siècle sans interruption. Je t'explique pas l'haleine au réveil. Les mouches ont pas du survivre plus de dix secondes à vingt mètres à la ronde.

Vous imaginez la gueule du baiser du matin ...?

"- Woah chérie... Aurais-tu sucé un cadavre en décomposition avant de te coucher sans te brosser les dents ???"

Bien que je ne sois pas réputé pour mon romantisme, je pense qu'il peut exister mieux comme souvenir du First Kiss.

Du coup, moi je le dis comme je le pense et sans jalousie aucune, le prince charmant n'est qu'un bel enculé !

lundi 25 août 2008

Conversation de comptoir tard dans la nuit ! (Extrait)

(NB : les noms des protagonistes de ce billet ont été changé pour préserver leur anonymat).

- Salut, tu t'appelles comment ?
- Amanda et toi ?
- Ernest. Tu veux un verre ?
- Oui je veux bien.
- Tiens !
- Mais heu... Y a rien dedans ... Il est vide.
- Mais tu croyais quoi, que j'aillais te payer un verre. Oh ! Tu vas ou Bridget Jones ? Tu m'as pris pour le prince charmant ou quoi ???

Moralité : Parfois il n'est pas necessaire de payer un verre pour réusssir à se faire du bien avec une fille.

(Et l'avantage c'est que la sensation de plaisir garde la mème intensité avec les gonzesses moches).

Personnellement je n'ai rien contre les chiennes de garde !

Personnellement je n'ai rien contre les chiennes de gardes mais c'est uniquement parce qu'elles sont plus nombreuses que moi !!!

(Mais bon, je me suis quand mème fait vacciné contre la rage, on sait jamais).

Je hais Blanche Neige !!!

Y a pas à discuter (je déteste qu'on me contredise), Blanche Neige est bien comme ce genre d'allumeuses qu'on rencontre trop souvent au comptoir des discothèques et qui se font rincer à l'oeil sans qu'il soit jamais possible de leur glisser autre chose qu'un doigt mais de conversation malheureusement.

Si si je vous assure.

J'en veux pour preuve son attitude avec les sept nains.
Observons la situation avec une attention pointilleuse mais suffisamment détachée pour éviter toute implication affective avec le sujet de l'expérience.
Il est facile de se rendre compte que :
- a) Les septs nains réaniment Blanche Neige et donc, lui sauvent la vie. C'est pas rien
- b) Les septs nains lui offrent un logis, et lui évitent de finir SDF.
- c) Les septs nains la nourrissent et lui évitent de se se transformer en top-model anorexique .
Personnellement, j'ai connu des groupes de légionnaires qui se seraient contentés de faire une tournante avec son corps agonisant avant d'abandonner son cadavre aux corbeaux.

Or, Blanche neige dans tout ça ?

Même pas capable de sucer ne serait-ce qu'un seul des septs nains pour dire merci !

Si si je vous assure.

D'ailleurs, elle ne l'a jamais nié.
- Pas un seul communiqué de presse, affirmant qu'elle s'est déja mise à quatre pattes dans le jardin des nains afin de pratiquer une fellation plus ou moins talentueuse à un quelconque membre du groupe (ne parlons pas du groupe au complet), ceci afin de les récompenser de tout l'aide qu'ils lui avaient apporté . (Je préfère préciser que j'ai écrit à quatre pattes vu qu'à genoux Blanche Neige aurait tout juste pu leur rouler des patins, ce sont des nains)
- Aucune intervention télévisée au journal de vingt heures sur TF1. (pourtant ces cons-là payent bien pour ce genre de trucs) pour faire concurrence au brushing de Claire Chazal (ou PPDA, je les confonds toutes les deux)...

Un silence médiatique qui en dit long...

Franchement, as-t-on déjà vu une réfugiée politique refuser de tailler une pipe à un gardien de camp de transit pour un peu de nourriture et/ou quelques avantages ?
Et ben la Blanche-Neige, elle a pas hésité. Au mépris des traditions les plus ancestrales qui déclarent haut et fort que la femme survit le plus souvent grâce à son cul et l'homme grâce au cul de sa femme, (voir celui de sa fille), à condition que chacun d'eux puissent en tirer un bon prix.
Pire que tout, au premier prince charmant qui passe avec le regard hautain sur un cheval carossé par Ferrari, elle mouille sa culotte en coton de chez la belle au bois dormant, et elle abandonne vite fait ses amis les nains qui restent comme sept cons dans leur mini pavillon situé dans un bois dortoir quelque part en banlieue du royaume enchanté, (Si t'as pas un GPS, tu retrouves jamais le chemin).
A l'arrivée, pendant que ses trop gentils amis de petite tailles font leurs soirées karaoke pour tuer le temps entre deux branlettes, la Blanche Neige se fait attraper en haut du donjon par son abruti de prince charmant (non ce n'est pas de la jalousie) et ses cris orgasmiques empêchent les gardes de dormir pendant le travail.

Et je devrais dire du bien d'une gonzesse pareille ????

Toutes des Bridget Jones !

dimanche 24 août 2008

Un putain d'anniversaire !

J'avais arrété de compter les verres dés vingt et une heure trente, et le jour était en train de se lever. J'étais suffisamment soul pour savoir que forcemment, ça n'allait pas m'aider à réfléchir de manière sensée.
Aussi quand la fille a répondu oui à la question, "t'as pas envie de boire du champagne sur une plage ?", je n'ai pas hésité.
Certes si sur le siège passager s'était trouvé un sosie de Maïté sans doute que cette jolie aventure n'aurait pas eu lieu, mais je mets un point d'honneur à ne jamais faire monter de sosie de Maïté dans ma voiture (et encore moins chez moi), à moins bien sur que ça soit dans le but de me faire sa copine belle... et croyez moi, même bourré, j'ai très peu failli a cette règle, car comme je le dis souvent, si je dois coucher avec une personne moche, autant que je me masturbe en me regardant dans une glace, ca me ferait une première expérience homosexuelle, ce qui serait bon pour l'ambiguité du personnage et en plus ca m'éviterait la minute trente règlementaire de préliminaires.
(J'aime l'expression personnage ambiguë, ça fait mystérieux et je ne suis pas sur qu'une moche mérite plus d'une minute trente de préliminaires...)
Bref, inutile de s'éterniser sur le sujet, tout le monde sait bien que je suis un enfoiré ce qui demande une certaine dose de talent ainsi qu'un courage immense qu'on pourrait qualifier d'inconscience quand on voit ma tête.
(Je sais que les plus féministes d'entre vous me détestent déjà, mais je voulais juste souhaitais la bienvenue à celles qui viennent d'arriver ah ah ah ah ah).

Bon, revenons à nos moutons, c'est l'heure de la tonte comme je le disais récemment à mon amie madame Touffue. La jolie fille dis oui, choisi la méditerannée, ca tombe bien j'ai des amis la bas et on part.
Je passe sur l'inconscience du truc, et l'avoue totalement, on ne devrait jamais conduire dans cet état meme pour faire chier Sarkozy. Le problème avec l'alcool, c'est qu'on réfléchis qu'une fois qu'on a dessoulé et qu'on se met à faire des serments d'ivrogne. (Le serment d'ivrogne est une phrase genre "Tiens j'ai trompé ma femme avec une gonzesse plus moche qu'elle, je suis trop con moi, je boirai plus jamais promis" qu'on prononce en sachant très bien que la fois suivante, on a neuf chance sur dix de tromper notre femme avec une gonzesse plus moche qu'elle pour la simple et bonne raison que lorsqu'on la cocufie avec une plus belle, en règle générale, on fait l'effort de divorcer).

Quatre cent cinquante bornes plus tard, je surgis dans le restaurant de mon ami d'enfance, et j'hurle champagne !
Et on boit. (Je pouvais, on était arrivé, je n'avais plus à conduire).
J'avais donc passé la nuit avec des amis, tout le monde s'embrassait sur la bouche, (les filles surtout c'était cool), et la j'étais peinard, assis en terrasse avec des fréres et des soeurs, une jolie fille qui riait en me regardant juste en face. Un fois de plus je volais un peu de lumière dans ce monde de brute et le soleil éclairait tout ça d'un grand sourire.
Amis, Jolies Filles Souriantes, Champagne et Vodka parfois valent mieux que tout les coach en auto motivation.
La vie me semblait encore plus belle.
Une fois de plus j'ai dansé dans les bras de la Chance.
Une fois de plus j'ai volé une étoile pour éclairer ma nuit.
Je ne sais comment finira l'histoire, mais quoiqu'il advienne, ne dites jamais que je n'ai pas essayé de courir plus vite que la balle qui vole en direction de mon crâne !
Quand à tous ceux qui ont partagé cette aventure avec moi... Rien n'aurait été possible sans vous. ! Vous êtes gravé dans mon coeur et ma mémoire tant que l'alzheimer regarde ailleurs.

Que serait donc ce monde sans les nymphomanes !

Comme je l’expliquais récemment à ma voisine Joanna tandis qu’elle me pratiquait une fellation névrotique derrière la cabane du jardin ou son mari tondait le gazon.
Sans les nymphomanes, ma vie sexuelle serait réduite de moitié voir plus.
(Etant donné que j’ai un rapport sexuel tous les 29 février…)
Mais d’un point de vue plus général, sans les nymphomanes les hommes mariés ne sauraient sans doute jamais qu’ils s’emmerdent au lit avec leurs femmes, et donc, peut-être qu’il ne les tromperaient mème pas, les privant alors d’une raison valable de les quitter en emmenant avec eux les enfants, la maison, une voiture et une pension confortable plus la moitié de tout le reste.
Pire, l’industrie du porno perdrait une de ses principales sources d’inspiration au risque de voir la créativité de ses produits perdre en qualité.
Le gang bang n’aurait peut-être mème jamais vu le jour.
Que dire de nos étés à la plage ? Plus de nuits folles, juste des journées passés à bronzer et des cancers de la peaux en surnombre.
Et nos années de fac ? Qui se souviendrait de ses études avec un brin de nostalgie et une grosse érection ?
Ne parlons pas des boites de nuits. On serait obligés de faire boire plus les filles dont on veut abuser, ce qui induirait une augmentation de la conduite en état d’ivresse et des cirrhoses du foi lesquelles gréveraient lourdement le budget de la sécurité sociale ce qui conduirait le gouvernement à augmenter les taxes sur les boissons alcoolisées et donc diminuerait le pouvoir d’achat des ménages.
Et puis, franchement messieurs, nous le savons bien, sans les nymphomanes, la plupart d’entre nous auraient perdus leur pucelage bien plus tard. Allez allez avouez…
Je vois déjà votre oeil se mouiller d’une petite larme mélancolique. Vous le savez bien. Nos meilleurs coups, nous les avons tirés sur la banquette arrière d’une super cinq rouillée au niveau de l’aile arrière gauche avec la nymphomane du coin.
Allez, tous ensemble, criions le haut et fort.
Vive les nymphomanes.
(Oui j'ai une demi-molle en prononçant ces mots, ça m'arrive...)

Bridget Jones est une pute ! (BJ is a bitch)

Bridget Jones est une pute il faut bien l’avouer.

Pas plus que toutes ses consoeurs de la nouvelle littérature féministe anglo-saxonne, mais pas moins non plus.
Certes, cette entrée en la matière peut laisser pantois le péquin de base arrivé ici par hasard et je me dois donc d’étayer mon propros afin de ne pas le traumatiser d'entrée de jeu. (Je m'inquiéte pas pour la péquine de base elles est déjà repartie).

A première vue, Bridget est une femme normale telle qu’on en croise tous les jours au supermarché sans les regarder.
Un poil grassouillette, habillée comme une demi-pouf, pas trop maquillée, bref pas trop bandante. (D'autres diraient pas du tout mais je ne suis pas de ceux là. Je suis galant sous mes dehors un peu rustres).
Au sein de son travail, elle est exploitée et pas vraiment reconnu à sa juste valeur comme toutes les cloches qui oublient de se taper le patron.
Sa vie sentimentale semble à peine plus animée qu’un documentaire sur le quotidien d’un plan de maïs en hiver, à tel point qu’on n'ose même pas lui demander à quand remonte son dernier orgasme, de peur qu’elle ne cite sa première visite chez son pédophile de gynécologue.
Pire que tout, quand enfin son patron daigne lui trifouiller l'entrecuisse, elle n'obtient même pas une promotion...
Pour résumer, plus on la connait plus on se demande si la saint bridget Jones ne tomberait pas le jour de la fête nationale de la dinde (Thanksgiving en américain).

Mais, jusque là, pas de quoi verser une larme, le genre humain est égoïste ne l’oublions pas.
Pas de quoi la traiter de prostitué non plus me répondras-tu, toi qui est toujours prêt à me contredire en l’absence de ma femme si j’en avais une.
C’est vrai répondrai-je, surtout que généralement, le mot pute a pour effet de provoquer une effervescence cérébrale ayant pour résultat un début d’érection chez la majorité des pervers qui peuplent cette planète, (Une communauté réputée pour regrouper principalement des individus de sexe masculin ), alors que nous l’avons vu un peu plus haut, habillée comme une demi-pouf, Bridget ne provoque pas de demi-molle.
Seulement, comme me le confiait récemment un ami colombien affublé d’un tic nasal, parfois, il faut savoir lire entre les lignes...

Je m'explique.

Bridget a une quéte.
J’ai écrit quête, pas quéquette, Bridget n’est pas un travesti, sinon je l’aurais traité directement de travelot et non pas de pute, je sais ce que je fais quand mème mais je me disperse, revenons plutôt à notre touffe anglo-saxonne.

DONC, comme je le disais avant de m'interrompre moi-mème de manière fort grossière, Bridget a une quête.

Bridget se réveille tous les jours en espérant trouver l’amour...

AH AH AH.

...La cruche.

Nous les mecs qui en avons dans le slip savons bien que l’amour n’existe pas. C’est juste un mot qu’on a inventé pour que nos femmes se méfient moins quand on les trompe avec leur meilleure amie célibataire qui n’attirent que les mecs mariés avec leur(s) meilleure(s) copine(s).

Il est vrai que la touchante naïveté pré-pubère de Bridget ne suffit pas à la classifier de péripapétichienne de bas étage. Oui, sans doute. Seulement…
Elle l’imagine comment son représentant de sexe opposé censé faire naitre ce sentiment pur et éternel dans son cœur ….?
Hein, vas-y, dis moi, toi qui n’a pas lu le livre ?

Beau, intelligent, avec le sens de l’humour et le charme, sans oublier UNE certaine stabilité financière qui confine au minimum à la haute bourgeoisie, mais s’il était carrement riche, ca serait mieux.


Ben tiens !

Arghhh !

Que rajouter à cela ?

Ce qui suit.

Bridget, personnellement, je n’ai rien contre toi.
Simplement, dans ton incapacité à phantasmer sur un moche ouvrier Michelin payé au salaire minimum et qui sentirait le caoutchoux, je te l’écris comme je le pense, TU M'A DÉÇU. (Oui DÉÇU avec une cédille majuscule)

Si si, je t'assure.

même si je me dois de reconnaitre que...

- Tu es libre de mouiller ta culotte en coton pakistanais de qualité moyenne en rêvant qu’un clone de Brad Pitt vienne t’enlever loin de la misère de ta vie de femme normale qui ne sera jamais Angelina Jolie mème en dépensant la dernière cagnotte d'Euromillion en chirurgie esthétique.
- Tu peux espérer que le prinche charmant vienne en Ferrari rouge plutôt qu'en Mehari verte.
- Tu as le droit d’être comme toutes ces femmes qui ont besoin d’une tanière qui ressemble à Versailles pour y procréer en paix, loin de la misère du quoitidien et des fins de mois difficiles.
- Rien ne t'empêche de rêver à ta part de gloire, aux paillettes, aux soirées champagnes, alcool et limousine. Le tout teinté d’un romantisme adipeux bien sur, il faut préserver les apparences.
- Je comprends que tu préféres faire l’amour dans un lit immense plutôt que sur un matelas gonflable.

Et après tout moi, humble chroniqueur frustré adepte de la masturbation sur des photos en bikini de Jessica Alba, qui suis-je pour te juger, et d'ailleurs, ai-je le droit de te juger ?

La réponse est non.

Mais je le fais quand mème, je n'ai aucune morale.

Bridget Jones tu n'es qu'une pute !

Mais dans ma grande mansuétude, je pondère, tu as des circonstances atténuantes.

Après tout ton matérialisme provient plus des contes de fées qui ont bercé ton enfance que d'une prédisposition innée qui serait essentiellement due à ta condition féminine. (Enfin je l'espère).

... ...

Les contes de fées ?

Ben oui.

Quelqu’un a déjà vu Blanche Neige tomber amoureuse du paysan charmant ?

... ...


NB : Pour toutes les chiennes de gardes qui s’affutent les crocs tout en tirant sur leur laisse et qui verrait la une tentative de dénigrer les femmes en les faisant passer pour des créatures bassement matérialistes et sans coeur, je me permets de rajouter que le Prince Charmant n’a pas hésité à se taper Cendrillon, LUI.
Et toc !
 
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